21h, Motoco – BONBON FLAMME

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Jeudi 24 août
21h   ~   Motoco (13 rue de Pfastatt, Mulhouse)

A partir de 6 €

billetterie en ligne. 

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France / Portugal / Belgique

Valentin Ceccaldi, violoncelle | Luis Lopes, guitare | Fulco Ottervanger, claviers | Etienne Ziemniak, batterie

Le violoncelliste Valentin Ceccaldi réunit un équipage taillé pour des croisières toutes en astres et en boréals : Fulco Ottervanger, flamand d’intrépidité qui s’extasie autant aux claviers qu’il jouit de pop extatique ; Luis Lopes, qui n’a pas moins Lisbonne dans les veines qu’il rugit et transsude le blues ; et enfin Étienne Ziemniak, impétrant flexivore qui mange de la pulse à chaque repas, et même un peu avant aussi. Se convoque donc ici une rencontre pour provoquer des arcs-en-ciel en Grand Boum, et mettre au cœur de la scène l’expressivité musicale et corporelle de quatre artistes au grand cœur. Le terrain d’aventure qu’ils se sont donné aura certainement pour point de départ ce quelque chose d’un jazz qu’on brûle par les deux bouts pour voir si le résultat renifle plutôt l’odeur de la betterave qu’on distille, ou celle d’une pomme d’amour qui fond au soleil. Avec ces petits airs de rien du tout qui vous dynamitent la grisaille et vous font fleurir les braises au milieu du palais des glaces. En douceur, et en pimenté. 

The cellist Valentin Ceccaldi gathers a crew cut for cruises all in stars and boreals: Fulco Ottervanger, Flemish of intrepidity who is as much ecstatic at the keyboards as he enjoys ecstatic pop; Luis Lopes, who has no less Lisbon in his veins than he roars and transsudates the blues; and finally Étienne Ziemniak, flexivorous impetrant who eats pulse at every meal, and even a little before too. A meeting is thus convened here to provoke rainbows in Grand Boum, and to put at the heart of the stage the musical and corporal expressiveness of four artists with a big heart. The ground of adventure that they have given themselves will certainly have as a starting point this something of a jazz that one burns by the two ends to see if the result sniffs rather the odor of the beet that one distills, or that of an apple of love which melts in the sun. With those little airs of nothing at all that dynamize you the greyness and make you bloom the embers in the middle of the ice palace. In sweetness, and in spice.